Raccompagnons Buck au cabanon.
Intrigué, notre cher ami Camenboute se demanda:
Le cabanon ? Kess keu sé ?
Décidé à en savoir plus il s'approcha de Monzouk le Maire et de leur collègue Seylinn:
Puis-je vous accompagner dans ce que vous appelez le cabanon ? Cela m'intrigue au plus haut point, et j'ose espérer que ça vaudra plus le coup que le champo...
Buck ? Tout va bien ? Est ce que tu veux que je te raccompagne ? Ou peut être as tu besoins de parler ?
Après quelques secondes, le bouzouk redresse lentement la tête, et pousse un profond soupir. Puis il répond, plusse pour lui-même que pour Seylinn :
Parler, parler, si seul'ment j'pouvais en parler...
Il soupire à nouveau, et fixe son verre vide. Ce kipik-là ravivait tellement de souvenirs en lui qu'il le trouvait autant parfait que répugnant. Il hésite encore sur le sentiment que lui procure la boisson quand elodred aborde les sujets cabanon excellent, animutants heureux et fatigue des bouzouks.
Ça oui, c'est l'meilleur endroit pour échapper à ces zouks à trompes pas beaux. J'vais ptêtre même leur interdire l'accès au SPQR tiens !
Puis, il fronce les sourcils et marmonne pour lui-même :
Ha, mais, j'en suis KAH maint'nant... Mmh...
Bon et bien nous ramèneront Buck au cabanon alors.
Elo commanda une autre bouteille de champo pour Seylinn, Camenboute et lui. Vu l'état de Buck, il faudrait mieux qu'il évite de boire plus, mais il pris un Blazième verre au cas où.
Puis en attendant le service, il aperçu Pincemi au comptoir
Hey Pincemi, on se boit cette bierro de fin de brasier ?
Du champo et une bierro pas plus.
Dernière modification par elodred (2962-05-04 19:21:12)
Elidark Struleone, flambeur et colérique maire de la ville depuis que la triche municipale est autorisée, connu pour ses liens assumés avec tout type de trafics, despote notoire et corrompu jusqu'à l'os.
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Buck ne semblait plus être dans son état normal : bien que Seylinn ne puisse pas vraiment juger de son état, du peu qu'elle le connaissait. Malgré tout : il n'était pas question pour elle de le laisser vagabonder au risque de tomber sur des zouks malintentionnés. Lorsqu'on lui proposa de reconduire Buck, elle accepta immédiatement !
Bien entendu ! Seylinn se leva, et entreprit d'attraper le bras de Buck pour l'aider à se lever à son tour lorsque Elodred proposa kah dernier verre. Soucieuse de continuer à se frayer une place en ville, elle accepta !
Juste un dernier alors ! mais pour Buck, je pense qu'il lui faudra quelque chose de plus... doux j'imagine ?
Elle suivi des yeux Elodred lorsqu'il s'adressa à la dénomée Pincemi : une bouzoukette aux cheveux d'or et à la silhouette chaloupée. Seylinn n'avait que rarement croisée d'aussi jolie créature dans la jungle. Elle lui offrit un sourire avant de se servir dans les boissons que le barzouk venait de déposer devant eux, et fit glisser le petit ramequin de kahuète vers Buck : manger, c'était surement ce qu'il lui fallait !
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Pincemi rêvasse au comptoir devant sa canette de champo quand Elo l'interpelle.
- Ah mais oui, volontiers ! C'est que j'avais presque oublié, tiens !
Elle s'assoit.
- Faudra qu'on remette ça, à l'occasion !
Elle glousse en mettant un léger coup de coude dans les côtés d'elodred, puis consent à se présenter.
-Salut. Moi c'est Pincemi. Je... Buck ?
Elle attrappe une bierro, en tend une à Elodred pour trinquer.
- Il a l'air aussi frais que les bloubz du bouffzouk !
Blonde, Belle et Bonne
PinceSky blaz ever
Disciple du Schnibble et Struleone MLBiste
Super-neuronée grâce à l'expertise scientifouille de WellMax
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Au coup de coude de Pincemi, Elo grimace un peu. Kah brasier c'est sympa. Zig, ça va commencer à piquer pour les finances.
- Il a l'air aussi frais que les bloubz du bouffzouk !
Oui... fin de soirée pour Buck.
Mais en attendant, il faut finir tout ça...
Elo montre le nombre de bouteilles encore pleines sur la table en se disant qu'il a eu la main lourde. Et le combo Bulchampo Bulbierro comment a lui monter à la trompe lui aussi
Elidark Struleone, flambeur et colérique maire de la ville depuis que la triche municipale est autorisée, connu pour ses liens assumés avec tout type de trafics, despote notoire et corrompu jusqu'à l'os.
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Buck était toujours plongé dans ses pensées sombres de plumes braisées, quand le nom de Pincemi est évoqué. Il redresse la tête, cherche du regard la belle zoukette, et son expression se radoucit quand il la voit enfin. Il oublie rapidement ses problèmes et lui sourit amoureusement. Il s'accoude au bar, pose sa joue contre sa main, et observe la zoukette avec son sourire niais et ses n'oeils pétillants.
V'là la plus belle...
Sa main libre tâtonne le comptoir à la recherche du ramequin généreusement poussé vers lui, puis il picore les kahuètes, toujours plongé dans sa contemplation.
La porte franchie, un amas de souvenir se précipitaient pour organiser un match de boxe contre l'unique neurone du zouk, un brin de nostalgie pour des moments partagés entre amis. Cet endroit avait manqué à Perzival, ne parlons même pas de la personne qui allait partager cette soirée avec lui. Il scruta les alentours à la recherche d'une table libre et un peu retirée de la cohue habituelle. Le fond de la taverne même si un peu poussiéreux lui semblait être un bon choix, ni trop calme, ni trop romantique, ni trop lugubre...
Il s'y installa et commanda un bierro à la serveuse qui passait par la. puis il patienta l'arrivée de la zoulie Karambo.
Le cadre était posé, Perzival était revenus de quète, le bbb détruit, Carotte volatilisé, le guet abandonné, pas d'appartement, mais il lui suffisait de penser à Karambo pour que sa trompe s'agite frénétiquement. Bref, il était content...
Les idées assez nébuleuses, Karambo ne pouvait pas ignorer le retour de Perzival en ville, ni répondre négativement à sa demande. Il allait certainement lui demander quelques explications. La brunette ne savait pas par quel bout commencer. Les évènements qui avaient entrainé l’incendie du BBB semblaient à la fois lointains et pourtant bien vivaces. Comme un mauvais rêve dont elle aurait du mal à s’extirper. Même après le réveil, des brides de ce mauvais rêve resurgissaient et manquaient alors de la faire flancher. Mais il en fallait plus pour abattre complètement Karambo. Et aussi pénible que puisse apparaitre la confrontation avec un zouk qui lui demanderait forcément des comptes, elle pouvait également se révéler salvatrice pour la zoukette. Car Perzival n’était pas n’importe quel zouk. Malgré sa disparition soudaine, et les hauts et bas qu’ils avaient pu rencontrer, Karambo aimait à penser qu’ils avaient un lien spécial.
Elle sourit instinctivement en reconnaissant sa silhouette au fond de la Taverne. Elle le rejoignit sans cérémonie, et sans s’inquiéter d’éventuels regards curieux qui suivraient sa progression.
« Bonsoir Perzi ... Je suis heureuZ de te revoir. »
La zoukette prit place en face du zouk et joignit ses zig mains sur la table en rivant son regard azur sur lui.
« Tu dois avoir kahgneegneegnee questions en tête ! »
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Bourikettteee !!!
Camenboute observa le nouveau venu:
Euh... Bonjour...
Dernière modification par Camenboute (2962-06-03 08:59:10)
C'est avec un peu de retard mais beaucoup d'impatience que Fraise arrive à la taverne. Elle regarde autour d'elle jusqu'à tomber sur cette fameuse table, au fond, près de la cheminée, dont Satrioul lui avait parlé. Elle commande deux bierros, une bien fraîche pour lui, et la deuxième bien tiède pour elle, puis s'assied en attendant d'apercevoir une cravate bleue...
Fraise ? C'est toi ?
Satrioul venait d'arriver à la taverne de Zangdar, un peu stressé mais ravi de faire enfin connaissance avec Fraise, une zoukette qu'il avait croisé un peu par hasard, notamment au Molmol Contenderz, ou en politique. Il n'était lui même pas vraiment à l'heure, mais peu importe ; il y était.
J'adore déjà cet endroit, c'est comme on me l'avait décrit ! Calme et accueillant. Parfait pour discuter de tout et de rien. En tout cas, tu es ravissante !
Satrioul pris place en face de Fraise, et constata qu'elle avait déjà pensé à commander pour eux deux. Une attention touchante qui ne laissait pas le zouk indifférent.
J'espère que tu n'as pas attendu trop longtemps ?
Il décapsula leur deux bierros, puis ils trinquèrent gaiement. Après les campagnes électorales de décembre, et les clashs qui n'en finissaient plus, Satrioul était ravi de pouvoir voler quelques instants de répit à un monde qui n'en finissait plus de s'emballer. Un peu de douceur dans ce monde de brute !
Dernière modification par Satrioul (2963-01-03 17:27:23)
- Satrioul! Comme je suis contente de te voir!
J'espère que tu n'as pas attendu trop longtemps ?
- Du tout! Tu penses! Je suis arrivée il y a quelques minutes. Dis donc, tu avais raison sur cet endroit! Les flammes, ça détend, assez étrangement.. Tu ne trouves pas?
Fraise est enchantée de pouvoir enfin papoter avec son nouvel ami dans une atmosphère non-conflictuelle, bien qu'elle l'ai trouvé très amusant face à Molmol au concours. Elle le regarde, ne sachant pas bien quoi dire, et sort sa botte secrète pour ce sortir de ce genre de situation.
- Parle-moi un peu de toi! avance t-elle avec un grand sourire.
Je te l'avais dit, c'est joli, non ? Et puis, le son des bûches qui crépitent, c'est si relaxant !
Satrioul finit par décrocher son regard de la cheminée, qui commençait un peu trop à l'absorber. Il reposa ses yeux sur Fraise : au vue de son expression, la zoukette avait l'air ravie d'être là. Ca tombait bien, lui aussi ! Bon dieu, comme ça, à la lueur orangée du foyer, il la trouvait décidemment rudement jolie. Etait-ce déjà la bierrouïoli qui commençait à faire effet ?
Oui, c'est vrai qu'on ne se connait pas tant que ça ! Eh bien, tu sais, je suis récemment arrivé en ville. Là d'où je viens, il n'y avait pas toute cette activité incessante... Mais même si parfois le calme me manque, quel bonheur de voir autant de choses qui bougent ! Et de rencontrer des zouks aussi formidables, aussi !
Non vraiment, je suis ravi de m'être installé ici. Je n'ai pas encore beaucoup d'amis, du coup, notre petite soirée est d'autant plus agréable, et...
Satrioul, se rendant compte qu'il commençait à monopoliser la conversation, s'arrêta brusquement de parler. Oups, peut-être trop brusquement ? Il espérait que Fraise ne remarquerait pas cette petite saute, et il enchaîna :
Mais, et toi alors ? Je ne connais pas grand chose de toi non plus, à part le fait que tu es au MLB, bien sûr. Les gens sont très décontractés sur leurs opinions politiques ici, c'est agréable de ne pas avoir à marcher sur des œufs. Mais je suis sûr qu'il n'y a pas que ça à savoir
Fraise se détend en écoutant parler Satrioul.
Mais, et toi alors ? Je ne connais pas grand chose de toi non plus, à part le fait que tu es au MLB, bien sûr. Les gens sont très décontractés sur leurs opinions politiques ici, c'est agréable de ne pas avoir à marcher sur des œufs. Mais je suis sûr qu'il n'y a pas que ça à savoir
- Non, bien sûr, il n'y a pas que ça. Mais la Révolution reste la chose la plus importante, tu sais, et puis...
Elle entend un bip : un zmz d'Henrystocrate!
- Oh, excuse-moi un instant...
Bonjour ma chère Fraise, je viens de lire un torchon ... Une interview d'un certain Satrioul. Je l'ai croisé au Molmol Contenders mais il ne m'a pas laissé un souvenir impérissable ! Il se permet de critiquer mon bal masqué ...
Mais ce n'est pas le plus grave ! Il tient des propos désobligeant a ton égard ..
Je cite :
"Concernant Fraise, je peux tout de suite dissiper la rumeur : nous ne sommes pas vraiment amis. Voir pas du tout. Alors, vous imaginez bien que côté cœur, comme vous dites, ce n'est pas par là qu'il faut chercher !"
Quel gros balourd ! Passes une excellente journée malgré ça ma chère et a bientôt !
Henry.
Fraise regarde Satrioul en haussant un sourcil en signe d'incompréhension, puis se lève d'un bond. Elle s'approche calmement de lui jusqu'à pouvoir sentir l'odeur de l'hypocrisie.
- Et dis-moi, c'est par où qu'il faut chercher ton intégrité?
Elle se redresse et file vers la sortie, direction le bal masqué d'Henry.
Le départ soudain de la zoukette déconcerta Satrioul.
De... De quoi ? Mon intégrité ? Mais de quoi tu...
Il se leva précipitamment, tenta de la rattraper pour comprendre le fond de l'affaire, mais Fraise avait déjà mis les voiles. Quelques instants plus tard, Satrioul reçu lui aussi une notification sur son IToboz : sa une sur Schnibble Magazine. Il parcouru rapidement l'article.
Oh non... Qu'est-ce que que cette histoire !? J'ai jamais dit des trucs pareils !
Il envoya un bref ZMZ à Fraise, en espérant qu'elle n'avait pas bloqué son numéro sur un coup de tête.
Si ton départ a un rapport avec la une du Schnibble Magazine, ils ont écrit n'importe quoi. Je n'ai jamais dit ça. Je t'envois bientôt une missive. S'il te plaît, prends le temps de la lire.
Satrioul
Après une violente dispute conjugale avec Sky, Pincemi avait claqué une énième fois la porte de la Villa pour aller se réfugier chez les pochtrons. Nostalgique, elle s'était rendue machinalement à la taverne de Zangdar. Même si l'endroit n'était plus aussi à la mode, on y trouvait toujours du bon champo tiède et une épaule sur laquelle baver.
C'est donc à la fois furibarde et larmoyante qu'elle s'était installée au comptoir et avait commandé une bouteille de champo. Puis elle s'était levée, avait empoigné une trompe et avait commencé à taper dans les boules. Du billard.
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KahTahStrof venait d'arriver en ville. Par expérience, il sait que le bistrot est le meilleur endroit pour se tenir informé de ce qu'il se passe dans la ville et prendre la température du climat social.
*Il poussa la porte délabrée du troquet en se demandant si l'entrée principale était bien celle ci tant la façade était aussi accueillante que celle d'une prison. Le doute fut levé lorsqu'il discerna le bar noyé dans la pénombre de la salle. Il déposa sur le comptoir la poignée de la porte qui lui était restée dans les mains. L'endroit était miteux, sentait l'humidité et la vieille pochtronerie. Le nombre de places et de tables laissaient à penser que jadis, ce troquet misérable était fréquenté quotidiennement par une horde de pochtrons assoiffés.
KahTahStrof s'assit sur un tabouret de bar bancal et commanda une bierro qui avait quasiment perdu toutes ses bulles. Un peu plus loin sur le bar, une bouteille de champo vide trainait. Sans doute siphonnée par le dernier client, le tavernier la laissait volontairement pour créer un semblant de passage récent, dont la fine couche de poussière déposée sur celle ci trahissait le mensonge.*
Pffff... N'y a t'il donc personne ici ?
***Un tourbillon de plumes s'engouffre par la porte entrouverte de la taverne. Tout en muskulatur, Super Pioupiouk apparait aussi promptement que l'Oracle, mais avec beaucoup plus de classe.
Il s'approche du bar et picore rapidement quelques miettes de flopeur qui gisent là.***
Piiiiiiiiouk ! ***piaille-t-il ensuite à l'attention des pochtrons.***
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KahTahStrof à présent accoudé au comptoir, tant son tabouret bancal devenait dangereux, manqua de s'étouffer avec la dernière gorgée de sa biero lorsque le volatil fit irruption. Médusé, il regardait le piaf picorer le bar.
Qu'est ce que c'est qu'cette bestiole ?
Il s'approcha, pas à pas vers lui, mesurant chacun de ses gestes, partagé entre la crainte que ce... "truc à plumes" pique une crise de folie ou de l'effrayer en premier.
Piiiiiiiiouk ! ***piaille Super Pioupiouk à l'attention des pochtrons.***
KahTahStrof sursauta, butta contre le tabouret bancal et s'écrasa la trompe par terre.
Pourquoi faut il avoir peur encore plus quand on s'y attend ?
Il se releva en se frottant le dos et la trompe. Super Pioupiouk continuait de picorer les miettes du comptoir, ignorant complètement ce qu'il venait de se passer.
Hey !!!
Je vais te tordre le zouk, te plumer et te faire rôtir pour te vendre 1 000 000 de struls au marché noir !!!
KahTahStrof empoigna un pic à broche enduit de vieille graisse qui traînait derrière le bar avant de s'élancer sur l'oiseau à la drôle d'allure...
***Super Pioupiouk tourne la tête vers KahTahStrof quand celui-ci se met à crier. Est-ce à lui, être supérieur parmi toutes les espèces confondues que ce bouzouk s'adresse ?***
Piouuuk ?
***Voyant le pic à broche fondre sur lui, Super Pioupiouk écarte les ailes en position de défense. Mais dans la manoeuvre, sa cape se déploie et s'enroule autour de son gosier comme une écharpe. Serrée. Très serrée. Trop serrée.***
Piiouu..u...k ?!?
***Le regard du zozio se décompose aussi vite que son intégrité devient précaire. Alors Super Pioupiouk fait ce que tout être neuronalement composé ferait. Il va se planquer sous le billard.***
Piiiiiiiiouuuuuk !!!
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KahTah' avait perdu de vue Super Pioupiouk dans l'obscurité moite du troquet mais il l'entendait reprendre sa respiration dans un léger sifflement. A pas de loup, il se laissa guider par l'égosillement du volatile. Ses semelles collaient à chaque avancée sur le plancher sale. Il s'approcha du billard, aucun doute le piaf était bien dessous mais il fit mine de continuer sans le voir.
Petit petit petit...
Il contourna le billard pour se retrouver derrière l'oiseau qui retenait à présent sa respiration et ne bougeait pas d'un centimètre. Il fit frotter le pic sur le billard tout en continuant d'en faire le tour...
Piou piou piou...
D'un geste rapide et précis, KahTah' empoigna la cape de Super Pioupiouk et le tira vers lui pour le sortir de sous le billard en pointant le pic sous son bec.
Piiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiouk Piiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiouk !!!
Ah ! Tu es à moi maintenant ! Je vais te zigouiller et faire de ta tronche un Trophée [Très Rare] que j'accrocherai au dessus de ma cheminée radioactive
MOUAHAHAHAHAHAHAHAHAH
Dernière modification par KahTahStrof (2964-03-31 22:54:11)
***Super Pioupiouk observe KahTahStrof tandis que le bouzouk est aux prises avec un soutien-boobz et plumeau -sans doute fait de plumes de pioupiouks mais c'est un mystère que le SPQR résoudra plus tard- en pioukant de rire.***
Piou-piou-piouuuk !
***Le volatile géant fait le tour du bar en picorant encore quelques miettes par ci par là puis profite de l'entrée dans nouveau client pour prendre la poudre d'escampette.***
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Voilà des lustres que Pincemi n'avait pas remis les pieds à la taverne. Un bref coup de noeil vers le comptoir fit défiler devant elle toute une vie de beuverie et quelques fantômes qu'elle avait plus ou moins aimés.
- Kloops ! laissa-t-elle échapper en trébuchant.
Elle se rattrapa de justesse, ou pas, et se releva tant bien que mal en rajustant sa jupe et ses veuch. Peu timporte, cet endroit se moquait bien de la décence et de la distinction. Elle s'installa à une table et commanda d'un claquement de doigts de quoi se mettre bien le temps de découvrir si la belle Seylinn allait accepter ou non son invitation.
Blonde, Belle et Bonne
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