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Taka sort de sa maison par ce temps radieux, se promène dans Vlurxtrznbnaxl et découvre le bar des pochtrons. Il ouvre la porte avec assurance et se dirige vers le comptoir.
Kah bierrouïoli s’il vous plaît.
Il descends sa bierro avec tranquillité et profite du moment pour faire une annonce à tout les bouzouks du bar:
J’invite quiconque se croyant capable de me battre à une partie de plouk, de m’envoyer une missive prochainement. Ne croyez pas en vos chances, pensez seulement à apporter vos plus beaux mouchoirs pour essuyer vos larmes après avoir été vaincu!
Quelques bierros plus tard et dans un état plus que lamentable, il se leva de son tabouret, en laissant muet chaque habitants présents à cet instant. Ouvris la porte et rentra chez lui avec un sourire sous la trompe tout en sifflant.
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Après la provoque hurlante de Taka, Zena s’imagine poser son micro, descendre de la scène et aller vers lui en esquivant les flaques sorties des profondes tripes de Taka.
Je relève ton défie!
Avec assurance, elle retourne sur scène toujours en esquivant les flaques en dansant le Houp-houp.
Fan de jeu, elle aurait voulu le défier, mais en voyant l’état impitoyable de Taka, elle préfère rester sur scène et continuer de chanter et de danser. Elle garde tout de même dans un coin de sa tête ce défie et l’interpellera la prochaine fois qu’il viendra au Bar en espérant qu’il sera sobre lors de leur conversation.
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Quelques jours plus tard, alors que le soleil tape toujours aussi fort sur les toits tordus de Vlurxtrznbnaxl, une silhouette bancale réapparaît à l’entrée du bar des pochtrons. C’est Taka, chapeau de travers, sourire en coin sous la trompe, une plume coincée derrière l’oreille et un vieux parchemin à la main.
Il pousse la porte d’un coup de patte, laissant échapper une bouffée d’air fermenté et de relents de bierro rance. D’un pas assuré (ou du moins qui y ressemble), il se dirige vers son tabouret fétiche, grimpe dessus tant bien que mal, puis sort le parchemin.
Il le déroule lentement, le tenant bien haut pour que tout le bar puisse entendre sa voix de fanfaron :
Oohww Zena, étoile de la scène et esquiveuse de flaques légendaires,
Ton houp-houp résonne encore dans mes oreilles brumeuses,
Mais sache-le bien: le défi lancé ne s’éteint point avec la gueule de bois!
Tu as esquivé les flaques, mais sauras-tu esquiver mes plouks?
La prochaine fois, garde ta voix et prépare tes mouchoirs, car je te défie, moi, Taka, maître des jetés de moules et roi de la glisse sur vomito;
À une partie épique, sans retour, sans pitié… sans triche (peut-être).
Prépare ton cerveau, échauffe ta trompe, et surtout… amène du sel, ça pique moins quand on perd.
Il roule le parchemin d’un geste théâtral, puis descend de son tabouret en titubant légèrement. Une bière à la main, il lève son verre vers Zena — ou du moins vers une chaise qui lui ressemble — et lance un clin d’œil avant de s’installer pour une nouvelle soirée d’attente, prêt à relever le moindre défi… ou à s’endormir la tête dans son verre.
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Alors que la lumière du bar filtre à travers les vitres graisseuses et caresse doucement les relents de bierro flottant dans l’air, une silhouette familière se redresse sur la scène : Zena, triomphante, une moule en collier et un mouchoir brodé à la main.
Elle tend le bras, théâtrale :
– Oh Taka, poète de l’ivresse et prince incontesté de la flaque périlleuse ! Le public est encore ému par la défaite que tu as subie… Tes plouks furent téméraires, tes gestes presque gracieux… mais hélas ! c’est moi, Zena, étoile chantante et reine des jetés de coques, qui ai remporté la victoire, sous les acclamations des bouzouks et les pleurs d’une moule inconsolable.
Elle descend de scène en virevoltant, s’approche de Taka et lui tend solennellement un mouchoir parfumé à la menthe pour atténuer l’humiliation.
– Mais comme toute vraie gagnante, je ne suis pas cruelle. Je t’accorde ta revanche, oh troubadour titubant ! Que la date soit fixée, que les plouks volent à nouveau!
Elle retourne sur scène, salue le public, et laisse flotter derrière elle une promesse de spectacle épique…
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Taka se lève doucement, le mouchoir de Zena toujours à la main. Il sourit, lève la trompe et dit d’une voix fière :
Zena! Tu m’as battu cette fois, c’est vrai…mais, mais… je n’ai pas dit mon dernier mot!
Il montre le mouchoir en l’air.
Je garde ça comme souvenir… et pour essuyer tes larmes la prochaine fois!
Car oui, je veux ma revanche. Et cette fois, je serai prêt!
Il lève sa chope, en renverse un peu sur le comptoir, puis ajoute d’un air certain.
Prépare-toi, Zena. Le roi du plouk revient !
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Zena éclate d’un rire cristallin qui résonne dans tout le Bar des Pochtrons, faisant vibrer les verres et danser les moules sur le comptoir.
– Oh Taka, valeureux perdant et buveur d’espoir à la pression !
Ton courage est grand, ta chope déborde,
Mais souviens-toi : ce mouchoir que tu brandis si fièrement…
C’est celui de ta défaite, brodé de mes initiales et de ton désespoir !
Elle descend une nouvelle fois de scène, cette fois d’un pas lent, presque cérémoniel, et s’arrête devant lui.
– Tu veux ta revanche ? Soit !
Mais sache que je ne viendrai pas seule… mes plouks seront affûtés,
Mes moules bien lancées, et ma grâce… toujours inégalée.
Prépare-toi, roi déchu du comptoir,
Car la prochaine manche ne fera pas que piquer… elle brûlera !
Elle lui fait un clin d’œil, tourne sur elle-même avec panache, et s’éloigne d’un air triomphant vers les coulisses, en laissant derrière elle un nuage de paillettes…
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Taka se lève lentement, le mouchoir brodé toujours en main. Il le brandit avec fierté, un éclat de défi dans les yeux.
Zena! Une victoire chacun… le destin lui-même réclame une belle!
Fini les chansons, fini les larmes de moules!
Demain, 20h, au Bar des Pochtrons : la grande finale.
Pas de pitié, pas de triche… juste toi, moi, et des plouks prêts à faire trembler les murs.
Prépare-toi… car demain, c’est l’histoire qui nous départagera.
Taka claque le mouchoir sur le comptoir et sort avec panache, sifflant un air de victoire à l’avance. Alertant dans les rues de la ville tout les habitants.
Oyééé oyééé chers voisins, demain soir rendez-vous au bar des pochtrons pour la grande finale de plouk. Soyez présents et n’oubliez pas vos portes struls pour les bierros. Ensuite nous chanterons et danserons jusqu’au bout de la nuit. .
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Résultat! Après un combat acharné des deux candidats, Taka l’emporte avec 52% à 48% des sondages. Puis il éclate d'un rire victorieux, sa voix résonnant avec un triomphe aussi bruyant que chaleureux.
Ah Zena, Zena, Zena… Je te l’avais promis, ce soir l’histoire était mienne ! Mon talent ? Sans égal ! Ma précision ? Chirurgicale ! Et mon charisme, n’en parlons pas…
Il brandit fièrement le mouchoir brodé aux initiales de Zena.
Vois-tu ce tissu glorieux ? Aujourd’hui, il ne porte plus le sceau de ma défaite, mais le symbole de ta douce humiliation ! Mais rassure-toi, je suis généreux : demain, on chantera à ta gloire… enfin, à ton courage d’avoir osé m’affronter.
Il se tourne vers le public enjoué, les bras grands ouverts, sourire flamboyant.
Et vous, bouzouks d’ici et d’ailleurs ! Je suis Taka, souverain incontesté du plouk, l'empereur du comptoir ! Si parmi vous se trouve un valeureux assez fou, ou assez soûl, pour défier le maître suprême, Qu’il s’avance, qu’il prenne son courage et surtout sa bierro à deux pattes !
Taka fait une révérence espiègle vers Zena en souriant avec malice.
Quant à toi, ma chère Zena, sèche tes larmes… Car même dans la défaite, ta grâce demeure. À la prochaine revanche, peut-être ?
Taka lance un clin d'œil taquin, claque le mouchoir victorieux sur le comptoir, et entame une danse de triomphe, entraînant toute la salle dans une joyeuse célébration qui promet de durer toute la nuit.
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Zena réapparaît doucement sur scène, une moule sur chaque épaule comme des épaulettes de général, un léger sourire aux lèvres et une étincelle d’admiration dans le regard.
— Ah Taka… que dire ? Tes plouks furent redoutables, tes gestes précis, et ton panache… toujours aussi bruyant.
Elle lève lentement les bras, en signe de paix.
— J’accepte la défaite, noble souverain du comptoir. Oui, le peuple a parlé, et même si la balance a vacillé d’un cil de moule, elle a tranché en ta faveur. Tu as mérité ta victoire, et je t’en félicite… sincèrement.
Elle s’approche, tend un second mouchoir, cette fois blanc et brodé d’un petit « GG » doré.
— Mais ne t’habitue pas trop à la gloire, oh empereur du plouk… Car un jour, dans une autre nuit, sous d’autres relents de bierro, je reviendrai. Et cette fois… ce ne sera pas pour danser.
Puis, avec un clin d’œil complice, elle se tourne vers la foule :
— Fêtez-le comme il se doit, chers bouzouks ! Ce soir, nous célébrons la victoire de Taka… et la beauté du jeu bien joué !
Elle lance des confettis de coquilles vides dans l’air, salue le public d’une révérence gracieuse, et disparaît dans un tourbillon de rires.
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Taka sourit, touché par la grâce du geste de Zena. Il incline doucement la tête, acceptant avec gratitude le mouchoir.
Aaaaah, Zena, ton fair-play est digne des plus grands conteurs de légendes bouzouks. Ce duel fut épique, digne de figurer dans les archives sacrées du comptoir !
Il glisse le mouchoir dans sa poche avec reconnaissance, la salue d’un clin d’œil complice, puis s’en retourne tranquillement chez lui, satisfait de cette soirée mémorable.
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Zena réapparaît furtivement, tapie derrière une vieille caisse de bierro vide, l’œil pétillant et la voix tremblante d’émotion… ou de trop de chnops.
— Taka, Taka, Taka…
Tu remportes la victoire ce soir, c’est vrai. Mais chaque plouk que tu as lancé, chaque punchline que tu as criée, tu les dois à cette flamme que j’ai allumée dans ton regard. Sans Zena… ton triomphe n’aurait été qu’un pet dans une soupe aux moules !
Elle ajuste sa moule-épaulette gauche, visiblement fière.
— Et puis, avoue-le… tu vas le garder ce mouchoir, pas pour t’en souvenir de ma défaite… mais pour te rappeler que quelque part, dans l’ombre d’un tonneau ou sous une nappe de comptoir, Zena attend son heure.
Elle s’approche en catimini, sort un petit coquillage doré gravé d’un “À suivre…” et le glisse dans la poche de Taka.
— Ce n’était pas une fin, mon cher Taka. Ce n’était qu’un premier chapitre. Car tant qu’il y aura des plouks et des bouzouks, Zena ne plouquera jamais loin.
Puis, avec un dernier sourire narquois, elle disparaît dans un bruit de ventouse, laissant derrière elle l’odeur salée de la revanche à venir.
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Taka observe le coquillage un instant, le fait tourner entre ses doigts, puis lève les yeux avec un petit rire étouffé. Il se redresse, l’air sûr de lui, un brin moqueur.
Une revanche ? Bien sûr, Zena. Reviens quand tu veux, entraîne toi avant. Mais souviens toi que défier le roi du plouk, c’est signer pour une autre chute.
Il glisse le coquillage dans sa poche, juste à côté du mouchoir, et s’éloigne tranquillement, les échos de ses pas résonnant comme un défi lancé à la nuit.
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Zena réapparaît en haut du comptoir, comme tombée du plafond (ou presque), drapée dans une nappe à motifs de moules et de struls. Elle regarde Taka s’éloigner, un sourcil levé et une moule entre les doigts comme s’il s’agissait d’un sceptre royal.
— Oh, Taka…
Roi du plouk autoproclamé, prince des poches pleines et des chevilles bien gonflées…
(Elle descend d’un bond léger, atterrit souplement, puis s’approche du comptoir avec un sourire en coin.)
— Tu dis que me défier, c’est signer pour une autre chute… Mais n’oublie pas une chose : les étoiles aussi chutent parfois… et c’est souvent là qu’elles deviennent des météores.
(Elle s’interrompt, sort une plume brillante de son chapeau bouzikorn, la glisse doucement dans la poche de Taka en douce, à côté du mouchoir et du coquillage.)
— La revanche viendra. Pas quand tu l’attendras. Pas quand tu seras prêt.
Mais quand la scène scintillera, et que la bierro coulera en cascade dorée.
(Elle recule, puis souffle sur la plume, la faisant tournoyer dans l’air comme un présage.)
— Prépare-toi, empereur du comptoir… car la prochaine manche sera chantée à deux voix, mais gagnée d’une seule main.
Puis, avec un clin d’œil qui pourrait renverser un tonneau, Zena disparaît derrière le rideau poussiéreux du bar, laissant flotter une note douce… et menaçante.
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Taka vacille légèrement, accoudé au comptoir, les joues rosies par les KahZig bierros et l’arrogance bien imbibée. Il regarde la plume tournoyer, plisse les yeux, puis éclate d’un rire grave et désordonné.
Revanche…? souffle-t-il en haussant un sourcil. Bien sûr, Zena. Reviens quand tu veux.
Il se redresse tant bien que mal, titubant avec panache.
Mais t’as aucune chance… face au roi du plouk.
Il tapote sa poche, là où dorment le coquillage, le mouchoir et désormais la plume. Puis il cligne lentement de l’œil.
Et j’compte bien trinquer à ta chute.
Il lève sa chope vide dans un geste solennel… puis s’écroule contre le bar en riant tout seul.
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Zena (sa voix résonne depuis nulle part… ou de partout)
Trinque, mon cher Taka… trinque à ma chute, tant qu’il te reste encore un fond de fierté au fond de ta chope vide.
(Elle réapparaît en ombre chinoise derrière le rideau du bar, sa silhouette découpée dans la lumière d’un projecteur tout droit sorti d’un pestacle de kazloufoire.)
Mais souviens-toi… la plume que je t’ai laissée n’est pas un souvenir. C’est un serment.
(Elle s’avance d’un pas, yeux mi-clos, ton moqueur, mais doux comme une claque avec des gants en velours.)
Tu te dis roi du plouk ? Soit. Je ne te l’enlèverai pas.
Mais même un roi peut finir flanqué au pied de son propre trône… surtout quand il confond la scène avec une taverne.
(Elle sort une petite fiole scintillante, la fait tournoyer entre ses doigts.)
La prochaine manche, Taka, ne se jouera ni au comptoir, ni à la chance. Elle se jouera au verbe, au rythme, et au panache.
(Elle s’approche de lui, penche la tête, puis chuchote comme un souffle de kazsouvenir.)
Et moi… j’ai les trois.
Toi t’as… un coquillage, un mouchoir, et un peu trop de bière dans le cerveau.
(Elle éclate d’un rire cristallin, lui colle une moule pailletée sur le front en guise de couronne, puis tourne les talons avec grâce.)
Prépare-toi, mon “empereur”.
Le pestacle ne fait que commencer.
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Taka redresse sa couronne, l'œil vif et provocateur.
Beau pestacle, Zena. Mais si tu veux vraiment briller, rejoins-moi au Plouk. Je t’offre une revanche.
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Zena esquisse un sourire en coin.
Prépare ton trône, Taka… je viens le secouer, pas le partager
Puis elle disparaît dans un tourbillon de plumes et de promesses.
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