Racontée par Zena, en silence mais pas sans gribouiller sur sa feuille de chnouf.
Dans un recoin gluant de Vlurxtrznbnaxl, là où les Doudous sentent le fromage fondu et les Poirettes chantent faux, vivait un Bouzouk à l’odeur étrange, un curieux mélange de prétention rance et de flatulence municipale. Ce Bouzouk, qui se prenait pour un Bzoukzard des anciens âges, clamait haut et fort que les Struleone, son clan de naissance, n’étaient plus qu’un tas de shlagues périmés, des restes de Chaussettes magiques usées, sans un seul Zgougou vivant dans leurs antennes.
« Z’ont plus de jus, plus d’âme, plus d’idée », pensait-il en touillant son Gloubi moisi, l’œil terne et le rire amer.
Alors il claqua la porte.
Pas par fierté.
Par stratégie.
Il quitta les Struleone comme on jette une Sprotch moisie dans un bac à Kloug : sans égard, sans merci, sans retour prévu. Puis il débarqua, l’air innocent, dans le camp du Parti des Artistes, un badge “Je veux de l’amour” de travers et une plume dans le nez.
Les membres du Parti, le cœur tendre et le ventre plein de rêves, lui ouvrirent leurs bras, leurs entreprises et même leurs stocks de Gloubiboulga. Il disait vouloir créer, participer, s’investir.
Mais en vérité, ce Bouzouk-là était venu pour briller. Pour manipuler. Pour se faire un trône avec leurs paillettes.
Il rejoignit l’une des entreprises du Parti, en chantant des promesses de camaraderie. Et très vite, on le vit transformer les outils partagés en levier personnel.
Des affiches, des mots, des échanges : tout tournait autour de lui.
Son unique refrain ?
« Votez pour moi ! »
Pas de bonjour, pas de coup de pinceau, pas de Gloubi partagé.
Juste de l’ambition dégoulinante, prête à napper chaque conversation.
Il se désignait meneur, distribuait des consignes comme un vieux Zlouk distributeur de boniments, interrompait les discussions collectives pour imposer sa vision : lui, lui, encore lui.
Plusieurs membres, troublés par tant de décalage, tentèrent de le ramener dans l’esprit collectif. À plusieurs reprises, on lui souffla qu’ici, on avance en équipe, qu’on partage, qu’on écoute. Mais il continuait comme un Doudou coincé dans un tourne-gloubi : répétitif, bruyant, incontrôlable.
Puis, ce fut la glissade : il se mit à suspecter tout le monde, à imaginer des complots derrière chaque Gloubi partagé, à interpréter chaque regard de travers comme une attaque. Il adressa des messages insistants à divers membres, chercha à les opposer, à les user par l’épuisement.
Les artistes, d’ordinaire joueurs paisibles et créatifs, prirent conseil entre eux. Un vote eut lieu, dans le respect de l’esprit du groupe. Le résultat fut clair : ce Bouzouk ne pouvait rester.
Et on lui souhaita bonne route.
Sans haine.
Mais avec soulagement.
Mais voilà que, quelques jours plus tard, l’étrange se produisit…
Le même Bouzouk, qui avait craché sur les Struleone, revint chez eux. Tout naturellement.
Comme s’il n’avait jamais rien dit.
Comme si son petit tour chez les artistes n’avait été qu’un passage touristique à but utilitaire.
Certains murmurèrent qu’il s’agissait d’un coup monté. Une stratégie digne des anciens Zloukistes. Un infiltré envoyé pour déstabiliser un clan paisible.
D’autres disaient qu’il était simplement perdu, avide de reconnaissance, incapable de vivre en harmonie sans se mettre au centre du monde.
Ce qui est certain, c’est qu’il a blessé.
Il a utilisé la bienveillance d’un groupe pour en tirer profit.
Il a semé la méfiance là où régnait la confiance.
Et il est reparti en jetant des miettes de rancune derrière lui.
Aujourd’hui encore, entre deux gorgées de Gloubi chaud, certains se rappellent son passage.
Certains rient. D’autres haussent les épaules. D’autres encore soupirent.
Zena, elle, écrit.
Elle ne parle pas. Elle n’accuse pas.
Mais ses traits de plume sont plus nets que mille cris.
Et sur son carnet, juste avant de le refermer, elle gribouille une dernière phrase :
Un Bouzouk sans mémoire n’a pas d’avenir. Un Bouzouk sans respect, lui, n’a que le sien.
Déconnecté
Pose le carnet le la table, la page toujours ouvert sur ce récit.
Je me souviens d'une époque où, les artistes accepté tous sans distinction.
Bouzouk plin et glorb, toute tailles invités. Un immense banquet de Bierrouïoli; Beurkeur et Chwuiz fondu leurs était donnés.
Puis, "IL" est arrivé.
Une larme coula le long de sa trompe.
L'adorateur de Struleone, le peloteur de *ér*
Et, la confiance fut rompu, les artistes fut déchu et les portes fermés.
Des mois durant le silence fut venu briser les éclats de rires, et...
La confiance peut à peu fut venu, au prix d'un sacrifice.
"IL" avait brisé l'harmonie, et le ramena de sa vie.
Du moins on aurait voulu, mais on avait pas le droit ,
On l'a juste taper un peu et laisser partir
LOBLONG BLOURBIUS
Aux ruines, je tiens ma cour; aux vivants, mon respect.
Déconnecté
Pampa assis au bar avec sa bieroli et sa paille dans la bouche a la lucky Luck entrain de lire ces quelques lignes et réagi
on va songer à fermer cette page, le passé c'est le passé. Pensons au présent nous sommes soude entre partie. Et pensons surtout au futur a tout nos projets il y en a tellement que ma tête est bouillante.
Pampa après cela boie sa canette d'un trait et en demande de suite 2 de plus .
Déconnecté
Prend le livre entre ses doigt gluant.
Il est trop tard, nous ne pouvons plus appeler
Les naissances devront se faire dans le partie.
ET...
Lève les yeux en face, ne voyant que les abysse
Nos mioche après nous feront de même jusqu'à la fin du groupe.
Je prépare la liste des femelle à kidnapper, et des mâles fertile
LOBLONG BLOURBIUS
Aux ruines, je tiens ma cour; aux vivants, mon respect.
Déconnecté
Il revint, donc.
Encore.
Toujours.
Mais cette fois, le cœur noué d’une colère qu’il appelait vérité.
Il n’avait plus de badge, plus de plume,
Juste une pancarte déglinguée brandie comme un trophée :
“Le Parti vous vole”
écrit de travers, taché de Gloubi froid.
Il parlait d’injustice.
Il criait au racket.
Il s’inventait une cause.
Mais Zena, elle, savait.
Ce n’était pas la misère qu’il dénonçait.
C’était la place qu’il n’avait pas su garder.
Le Parti des Artistes ne vole personne.
Il partage.
Et qui partage dérange ceux qui veulent tout.
Pas pour construire.
Pour dominer.
Oui, une part est prélevée.
Mais elle fait naître des projets,
Elle nourrit les idées,
Elle fait pousser du Gloubi là où avant,
il n’y avait que des cris dans le vide.
Zena a vu ce que les autres oublient.
Quand il était dans le Parti,
Ce Bouzouk n’a rien proposé.
Il a exigé.
Il n’a rien écouté.
Il a ordonné.
Il n’a rien donné.
Il a pris.
Et aujourd’hui,
Comme un Sprotch rancunier jeté au feu de joie,
Il revient avec un costume froissé de révolutionnaire,
Et des accusations en conserve.
Zena n’a pas crié.
Elle a dessiné.
Un Bouzouk, les poches pleines,
Debout sur une scène qu’il n’a jamais aidé à bâtir.
Et en dessous, elle a écrit :
« La haine fait de jolis discours.
Mais elle ne sait pas peindre. »
Puis elle a gribouillé une main tendue.
Pas la sienne.
Celle du Parti.
Encore là.
Encore ouverte.
Malgré les morsures.
Elle savait que certains écouteraient les mensonges.
Parce que la colère est plus facile à avaler que la vérité.
Mais elle savait aussi que l’art, lui,
ne ment jamais longtemps.
Alors,
Sur la dernière page,
Avec un trait sûr, sans trembler.
Elle écrivit :
“Quand on change de masque à chaque saison,
C’est qu’on n’a jamais eu de visage.”
Puis elle leva les yeux.
Et continua à dessiner le monde.
Pendant que d’autres… le brûlaient par dépit.
Déconnecté
LE SANG VISAGE
Kah; Dru; Gnee années que ses pas foule ses terres
Qu’à tours de bras il enterre
Fidèle du Bierrouïoli incontestable
Et pour les autres ?, pour toujour détestable
Nulle témoins à sa visite lorsqu’à son tour il nous quitte
Hélas, sordide vérité connu seule du Schnibble
Par Azimut et l'ancestral Strudel
Nulle possibilité de fuite
La trompe bien en place au milieu du visage
Me direz-vous comme tous les sages
Nulle temps de s’y méprendre
Car lui viendra vous prendre
Le sang visage
Le 100 âges
Le s’en rage
Le vent nage
Zig; Goz; Glap noms lui fut dédié
Sans jamais pouvoir en parler
Comme un ombre
Un mirage sombre
Prophétique bouzouk
Lui même n’a pu le connaître
Des millénaires qu’il a pu naître
Sans jamais voir son bouk
Bouzouké, Bouzoukette assoyon-vous
Mangeons, Buvons comme des trou
Mais attention, car vous serez pour lui qu’un Lobrik sous sa trompe
Amis pochtron, fêtons jusqu’à ce que la vie rompe
L’erreur fatale est arrivée
À chanter à tûtrompe “Gloire au multicolore”
Son TULAVU, en publique le montrer
Avec la haine, faire corps
Oui, LES ARTISTES L’ONT VU
Au prix de leur membre associé
Nodaska depuis lors disparu
Et parmi nous, le doute s'est installé
Oui, AMIS BOUZOUKÉS, BOUZOUKETTES
Ne nous laissons pas berné
Car le sang visage sous le né
C’est vos vies qu’il raquette
LOBLONG BLOURBIUS
Aux ruines, je tiens ma cour; aux vivants, mon respect.
Déconnecté
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