#1 2966-09-25 15:40:290

Donuts

Bouzouk

Des sous...des sous...des sous....des sous....des sous....?

Donuts avait été alerté plutôt dans la matinée par une rumeur lancer encore une fois par des "journalistes" mal informés. Il décida de prendre la plume pour répondre...

Cher journaliste,

J'ai appris plutôt dans la journée qu'une rumeur courait et qu'elle ne fut pas ma surprise d'apprendre que c'est toi qui la colle porte. Afin de te rafraîchir la mémoire je me permets de glisser dans ces quelques mots l'essence même de cette campagne de diffamation que tu as joyeusement organisé :" le maire que je suis organiserait le pillage des caisses municipales et organiserait une famine galopante".... Que dire face à tant de bêtises ? Je ne vois qu'une solution rétablir la vérité.

En ce qui concerne l'argent des caisses, j'ai vite réalisé au cours de ce mandat que les riches, les membres de la terrasse des nobles et compagnie ne payent pas leurs impôts,ils ont pour des centaines et des centaines de milliers de struls d'impôts impayés !

Alors l'argent qui devrait être dans la caisse municipale à servir l'intérêt du peuple, il est bel et bien là dans les poches de ces êtres cupides qui s'engraisse sur le dos du peuple.

En ce qui concerne"l'orchestration d'une famine fictive", je me permets de te rappeler l'ouverture des restolidaires à destination des précaires de notre ville. Sans oublier aussi que sous mon mandat les prix au marché noir ont chuté drastiquement permettant à bon nombre de nos concitoyens et concitoyens de trouver là de quoi subvenir à leurs besoins essentiels. Martine me fait remarquer à l'instant un point capital dans cette lutte incessante pour permettre à chacun de se soigner,manger,boire...bref vivre,mais aussi j'ai régulièrement organisé des actions promotionnelles pour que chaque membre de notre belle colline puisse manger à sa fin.

Henrystocrate

Bouzouk

Re : Des sous...des sous...des sous....des sous....des sous....?

Henrystocrate rigole en lisant les médias et la réponse à chaud de Donuts. Il souffle :

"Quel mandat déplorable."