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#1 2954-08-08 09:32:44

Un pochtron
Invité

Lettre ouverte à Monsieur le Maire

caCtus prend son courage à deux mains et se dresse face à la Mairie, juste sous l'estrade depuis laquelle Monsieur le Maire a pris l'habitude de faire ses annonces.
Elle retire son sac à dos, passe une main à l'intérieur pour en sortir une feuille de papier pliée en quatre, puis pose le sac à ses pieds.
La bouzoukette déplie délicatement la feuille, la parcours des yeux une dernière fois, puis prend une grande inspiration.


Monsieur le M...


La voix enrouée de caCtus l'empêche de parler. Il est encore tôt, elle a pris grand soin de venir à une heure où peu de bouzouks sont déjà en train de manifester leur mécontentement devant la Mairie, craignant que le trac ne l'empêche de parler.
Ce sera une lettre ouverte, mais en petit comité. Juste devant le vieux bouzouk assis là-bas sur le banc, en train de donner quelques graines aux pioupiouks, et probablement sourd comme un pot. Même le Maire n'est pas encore là.

La bouzoukette se râcle la gorge et reprend.


Monsieur le Maire,


Ce n'est pas au nom du MLB que je vous écris cette lettre.
Ce n'est pas au nom du peuple que je viens vous parler aujourd'hui.
Vous qui demandez si souvent à ce qu'un individu ne soit pas jugé qu'en fonction de ses fréquentations, voici devant vous une citoyenne de Vlurxtrznbnaxl. Une ouvrière de la colline pourpre qui travaille dur chaque jour et a des revenus moyens.
Mais, avant tout cela, je suis une bouzoukette dont vous vous moquez, je fais partie du peuple que vous méprisez, ceux devant qui vous ricanez.
Je vous écris cette lettre en mon nom, et au nom de tous ceux qui attirent aujourd'hui votre dédain et se sentent concernés.


caCtus fait une pause.
Lorsque la bouzoukette lit son texte, on a l'impression d'une poésie récitée par un jeune bouzouk devant sa maîtresse. Elle a passé sa matinée à s'entraîner devant son miroir avant d'avoir le courage de venir lire devant la Mairie. Elle jette un bref coup d'oeil à sa droite, puis à sa gauche, tiraillée entre la volonté de vérifier si des bouzouks sont présents, et l'envie de ne rien savoir du tout et de continuer à lire sans s'en préoccuper.


Nous, les pauvres, nous, les mendiants, nous, les clodos, les gueux, les miséreux,
Méritons-nous d'être traités si peu de dignité? Ne méritons-nous pas un peu de respect?

Vous ne voulez pas nous venir en aide? Ne nous donnez rien.
Vous ne voulez pas entendre parler de nous? Faites un détour pour éviter la ruelle.
Vous ne voulez pas admettre qu'une partie du peuple a un train de vie moins confortable que le vôtre? Ne venez pas en visite dans les bas-quartiers.

Ignorez-nous, si vous le voulez, mais ne venez pas vous moquer.

Lorsque vous récompensez vos amis qui viennent parmi nous, se font passer pour nôtres et volent le strul aux honnêtes passants, vous ne nous respectez pas.
Lorsque vous venez rendre visite aux mendiants, n'hésitant pas à quémander le strul dont vous n'avez pas besoin pour faire la blague, pour ensuite afficher que vous venez voir comment nous nous se débrouillons depuis que vous nous avez coupé les vivre, vous ne nous respectez pas.

Pour quelles raisons ne méritons-nous pas un minimum de dignité?

Nous sommes des bons à rien, nous ne travaillons pas.
Croyez-vous que je passe mes journées assise dans une ruelle? Ne savez-vous pas que j'ai monté une entreprise de mes petites mains, avec l'aide de mes amis, qu'aujourd'hui nous sommes plusieurs bouzouks à mettre la main à la pâte chaque jour pour contribuer à fournir Vlurxtrznbnaxl en mercurochroutes? Pensez-vous que je m'y tourne les pouces?
Les bouzouks les plus pauvres ne sont pas les moins travailleurs, arrêtez de fermer les yeux.

Après une journée de travail, mon salaire de 100 struls devrait m'éviter la mendicité.
C'est exact. Mais devrais-je faire comme vous? Devrais-je ignorer tous ceux qui n'ont pas la chance d'avoir un salaire digne de ce nom? Devrais-je tout garder pour moi sans penser à mes voisins de ruelle? C'est certes mon choix de partager mes revenus avec ceux qui en ont moins, mais je ne vois pas en quoi il devrait attirer votre mépris. Et si ce choix ne vous convient pas, ignorez-moi! Il reste tant d'autres bouzouks aux revenus médiocres. Mais ceux-là, vous vous en moquez également.


La bouzoukette, embarquée dans son élan, ne s'arrête plus. Elle est concentrée sur sa feuille de papier qu'elle veut lire jusqu'à la fin, coûte que coûte.



Monsieur le Maire,

J'ai connu un bouzouk loyal et honnête.
Je ne partageais pas toutes ses idées, mais je le pensais bon. Il me disait vouloir le bien du peuple, je le croyais, même si nous n'avions pas la même conception d'un peuple heureux. Il travaillait dur, gagnait un salaire très confortable, couvrait ses amis et sa famille de cadeaux, mais agissait toujours avec respect envers son prochain.
Nous nous entendions bien, et même lorsque nous n'étions pas d'accord sur un sujet de discussion, nous savions chacun respecter l'autre.
Où est-il passé? Qu'est-il devenu?

Ce bouzouk est devenu Maire.
Je ne sais pas ce qui lui a fait perdre la tête. Le pouvoir? Les struls? Le regard des autres?
Je sais juste qu'il n'est plus celui que je croyais connaître.
Il est devenu un bouzouk odieux qui traite avec mépris ceux qu'autrefois il disait apprécier et qui aujourd'hui lui donnent leur point de vue.
Il est devenu un bouzouk désagréable qui traite de menteurs ceux qu'autrefois il disait être des amis et qui aujourd'hui lui rappellent qu'un jour il fut honnête.
Il est devenu ce bouzouk qui, parce qu'il a été élu par ses amis, se croit le roi de Vlurxtrznbnaxl et se pense tout permis. Celui qui vient se pavaner devant les plus pauvres, une coupe de champagne à la main, un foulard en soie dans la poche, et riant de ceux qui le regardent avec envie, avant de retourner se détendre dans sa luxueuse demeure. Celui qui croit qu'on peut acheter un silence avec quelques struls ou un clin d'oeil.



Monsieur le Maire,

Menez votre politique comme bon vous semble, ça n'est pas mon sujet.
Favorisez qui vous voulez, ça n'est pas ma requête.
Vendez votre âme à n'importe quel prix, ça ne m'importe plus.

Mais si vous pouviez conserver le peu de bouzoukitude qu'il vous reste pour traiter le bas-peuple avec un minimum de respect, ça serait quand même vachement cool de votre part.


caCtus baisse la feuille qu'elle avait devant ses yeux. Elle s'avance près des portes de la Mairie, là où se trouve le panneau d'affichage, attrape une punaise et y accroche sa lettre.
Puis elle quitte les lieux, une nouvelle journée de travail l'attend.

#2 2954-08-08 11:35:12

Un pochtron
Invité

Re : Lettre ouverte à Monsieur le Maire

Son panier d'ozier à la main, Nogoud se rend au pti marché du coin. Il passe par la place de la Mairie et comme d'hab' scrute le panneau d'info en ajustant ses binocles. 

*Tiens ? Une zupplique ? On dirait plutôt le cri du coeur d'une zoukette dézue par un ami. Pov'Cactus ... Ne sait elle pas que les rezponzabilités du pouvoir obligent un maire à agir dans l'intérêt général au rizque de dézevoir ses proches ? Hélazzzz ! l'Hiztoire se répète encore et encore ...

Nogoud reprend sa marche penzivement ...

#3 2954-08-08 12:38:03

Un pochtron
Invité

Re : Lettre ouverte à Monsieur le Maire

== Jeoff était encore en train de roupiller quand une voix timide et tremblante le sort de son sommeil ==

Hein? quoi? (baille)

== Le temps qu'il se réveille, la voix s'arrête de parler. Le lieutenant décide de sortir chercher la voix, mais à la place il trouve une lettre placardée sur sa porte.==

Ma chère caCtus,

Tu ne parles pas au nom du peuple?
J'imagine donc que tu désires me confier tes tracas, me parler de ce qui ne te convient plus dans ma façon d'agir, que tu souhaites t'entretenir avec moi pour que nous nous expliquions sur nos différends.
Alors pourquoi une déclaration publique?

Tu m'accuse de mépriser le peuple.
Tu te trompes. Je ne déteste personne, je ne méprise personne et je ne manque de respect à personne.
Je respecte chaque bouzouk quel qu'il soit.
Je les respecte de manière égalitaire, qu'il s'agisse de Myrddin qui m'accuse de copier Lineo, qu'il s'agissent de Luna qui passe son temps à agresser ma famille, qu'il s'agissent d'Obey qui fourre son nez dans nos affaires - et le Saint Schnibble sait qu'il ne faut pas-, qu'il s'agisse de Dranz ou de n'importe quel anonyme de la famille et enfin qu'il s'agisse de toi.

Après tout, qui serais-je sans chacun des citoyens de Vlurxtrznbnaxl?
Un roi sans sujet emmuré dans un château vide, lasse du temps qui passe et lasse de ne même pas pouvoir partir en quête.
Sans les habitants de notre belle colline pourpre je ne serais rien! Alors pourquoi leur manquerais-je de respect?

Contrairement à ce que peuvent penser certains bouzouks, être maire ne signifie pas uniquement gérer l'économie de la ville. Les responsabilités sont bien plus grandes. Je suis le représentant du peuple, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur - je pense aux bouzouks en quête et à toute forme d'intelligence extérieure à la colline que nous n'avons pas découvertes-, je dois être une figure forte, parfois me vider de mes sentiments pour ne pas affaiblir la colline.
Je ne me suis pas présenté à la mairie pour être aimé ou pour me faire des amis, mais pour que notre colline soit radieuse.
J'écoute chacun des clans, je considère et j'étudie chacune des nombreuses réclamations qui me sont faites.
Peu importe mon idéologie, j'agis pour la colline et pour les citoyens.

Mes décisions ne sont pas comprises?
Je le comprends. Un jour, à l'époque où je mendiais, un vieux sage bouzouk m'a tenu le discours suivant :
Tu n'es pas d'accord avec la décision de ton maire? Tu es comme un bouzouk étudiant qui réclame à son chef de clan un bonbon. Le chef de clan refuse car il t'as préparé un bon gâteau qu'il garde secret pour te faire un surprise. Mais tu insistes tellement, que déçu et épuisé il finit par te donner le bonbon et jeter le gâteau.

Je n'attends pas de la colline qu'elle soit en accord avec mes décisions.
J'attends qu'elle comprenne que je fais cela pour son bien, pour qu'elle soit plus forte, plus rayonnante, pour qu'elle ne craigne plus la famine.
Nous sommes l'élite choisie par le Schnibble, pour avoir le droit de rester dans les hauteurs, nous devons être fort intellectuellement et physiquement!
J'applique une politique qui répond à ces critères!

J'aime mes concitoyens, j'aime Vlurxtrznbnaxl.
J'agis en fonction de ce qui me semble bon pour tout un chacun et tant pis si je suis détesté pour ça.
Je préfère agir et me tromper. Les prochains maires sauront rattraper mes erreurs.
Mais au moins j'aurais essayé d'offrir à Vlurxtrznbnaxl un avenir meilleur.

Si tu ne comprends pas ça alors tant pis pour moi.
J'aurai perdu la meilleure des amies, mais jamais je ne regretterais les décisions que j'ai prises pendant mon mandat.

== Se demande si un ou deux bouzouks ne vont pas sortir un mouchoir pour pleurer ou se mettre à jouer du violon ==

#4 2954-08-08 13:50:53

Un pochtron
Invité

Re : Lettre ouverte à Monsieur le Maire

caCtus s'est fait rapporter la réponse de Jeoff, et profite de sa pause repas pour se rendre à la Mairie.
Elle patiente devant le bureau de Monsieur le Maire et attend que celui-ci se montre. Elle évite de le regarder dans les yeux, pour ne pas être intimidée, mais essaie de tenir bon face à lui.

Les trucs privés, je les règlerai en privé. Vous m'connaissez assez pour le savoir, non?

Vous respectez chaque bouzouk, quel qu'il soit? Lors de vos apparitions officielles, p'tèt.
Vous vous gardez bien de nous rapp'ler qu'vous accusez les plus pauvres d'être des bons à rien et de n'pas travailler.
Vous n'pensez pas non plus à signaler que si vous v'nez à la ruelle des mendiants, c'est pour constater les dégâts que vot' politique cause.
A vous entendre parler, on est d'la vermine, on sert à rien, on est pas méritants. Si c'est ça votre respect, ah ben pour sûr qu'on va s'en passer!
Mais ça, on le garde pour en parler autour d'une bierrouïoli, en présence de peu de bouzouks, j'aurais pas dû venir m'en plaindre ici, bah voyons...

C'pas une affaire privée. Vos propos, vot' façon d'agir, vos incessantes provocations ne sont pas dignes du Maire honnête et respectueux envers son peuple que vous prétendez être.

C't'à moi de faire preuve de compréhension?
Dans ce cas, non, j'comprends pas.
J'comprends pas quand vous prétendez respecter chaque bouzouk alors que le mépris est présent dans vos actes et vos paroles, j'comprends pas quand vous prétendez représenter le peuple alors que celui-ci n'vous intéresse visiblement pas.

C'est vous qui pigez pô : j'suis pas en accord avec vos idées, mais c'pas ce que je suis venue vous dire ce matin. J'vous demande juste d'être le Maire que vous décrivez, ce s'rait d'jà pas mal.

#5 2954-08-08 15:01:02

Un pochtron
Invité

Re : Lettre ouverte à Monsieur le Maire

Tu inventes des conversations privées que nous n avons jamais eu.
A la tristesse, s ajoute la déception.

je ne prends personne pour de la vermine...
Je peux être bête, provocateur, mais ni haineux, ni irrespectueux.

Une fois de plus j ai l impression que tu m as entendu mais pas écouté.

Que dois je faire pour être le maire que je décris?

#6 2954-08-08 16:07:14

Un pochtron
Invité

Re : Lettre ouverte à Monsieur le Maire

Tu... Vous dites que je ments? Vraiment? Encore?

caCtus reste bouche-bée. Elle ne sait pas si Jeoff ne se rend même plus compte des mots qu'il peut avoir à l'encontre de certains bouzouks ou s'il agit ainsi uniquement parce qu'ils sont à la Mairie, où n'importe quel bouzouk passant par là pourrait entendre ce qui se dit.

- Que dois je faire pour être le maire que je décris?

Continuez ainsi. Vous êtes parfait. Le costume vous sied à la perfection.
J'n'ai rien à vous dire de plus, je risquerai de vous décevoir bien plus, et je n'voudrais pas gâcher votre journée plus que je n'l'ai déjà fait.
Je m'en vais rejoindre ceux qui s'sentent concernés par c'que j'raconte, probablement des menteurs, eux aussi.

Si d'aventure il vous vient l'envie de réfléchir 5 minutes...

caCtus ferme la porte du bureau, descend les marches, puis quitte la Mairie.
Un Maire de plus subjugué par le pouvoir, tant pis.

#7 2954-08-10 14:06:27

Un pochtron
Invité

Re : Lettre ouverte à Monsieur le Maire

**Pincemi arrive à la mairie d'un pas décidée. La tête enfoncée dans sa capuche, son visage est partiellement dissimulé dans l'ombre que dessine le tissu pourpre. Elle se plante devant la secrétaire**

Dites à Monsieur le Maire que Pincemi, Disciple de la Secte du Schnibble, désire lui parler et ce le plus rapidement possible.
J'attends. Bougez-vous le fion !

#8 2954-08-10 14:43:33

Un pochtron
Invité

Re : Lettre ouverte à Monsieur le Maire

== jeoff était en train de jouer avec son pioupiouk et son grazouk en morphoplastok. On l'averti de l arrivée de pincemi. Il s'empresse de la faire entrer dans son bureau ==

Pincemi que puis-je faire pour-toi?

#9 2954-08-10 15:33:04

Un pochtron
Invité

Re : Lettre ouverte à Monsieur le Maire

**Après un regard à la fois amusé et désapprobateur sur les joujouX du maire, Pincemi va droit au but**

Jeoff. Je ne te reconnais pas et je ne suis pas la seule, si j'en crois le torchon qui est affiché dehors.
Tu connais mon mépris pour les MLBistes. Mais là, on parle de la zoukette... celle qui est ton amie...

Le pouvoir te tourne-t-il la tête à ce point que tu ne vois même pas que ton amie souffre ?
Je te connais depuis longtemps maintenant. Je sais que tu es bon et juste et que l'arrogance ne fait pas partie de toi.

Comment as-tu laissé cela t'arriver ?

Aujourd'hui, je viens de parler de ton amie... Tu dois savoir qu'elle a entamé une grève de la faim.
Je n'ai pas de sympathie pour elle, mais elle est une zoukette, une enfant du Saint Schnibble et son sort m'importe malgré tout.
Alors toi qui l'aimes d'amitié, comment peux-tu, depuis des jours, lui exprimer tant de mépris ?
Qui a tort ? Qui a raison ? Est-ce important quand un être que l'on chérit se laisse ainsi dépérir ?

Jeoff ! Vas-tu te montrer fier et têtu au point de la laisser partir en quête ?
Vas-tu te désintéresser du sort de cette bouzoukette ? Quand bien même elle ne compterait pas pour toi... de ta part, elle mérite mieux que ça.
Que je lui crache mon mépris à la trompe, cela ne surprend personne. Mais toi... jamais tu n'avais craché sur le peuple, aussi bas et vil soit-il...

Aujourd'hui, je viens te donner ZIG bonnes raisons de venir au Temple :
KAHhièrement, tu vas aller prier et implorer le Tout-Puissant de te pardonner tes errances et de te donner la force de te reprendre ! (Tu glisseras un petit quelque chose dans la fente du Trou du Culte pour accélérer le processus, pasque là, ça urge !)
Et ensuite, quand tu auras assez prié et médité et que tu auras retrouvé ton humilité et ta lucidité, tu te rendras comptes que l'acte de caCtus est un ultime appel et que cet appel, c'est à toi qu'il est adressé ! Elle aura beau clamer qu'elle lutte contre l'injustice toussa toussa, elle exprime seulement la peine de votre puérile fâcherie. Vous qui étiez, au même titre que Camilo et Crumble, un symbole de tolérance et l'espoir d'un avenir meilleur où les différences sont surmontées au profit de l'amitié... Tu vas me faire le plaisir de te rabibocher et de me débarrasser de cette clodo !!

Je te laisse réfléchir à toussa Jeoff. Pour ma part, je vais aller prier pour le salut de ton âme et de ta raison.
Sauve-les. Sauve-les toutes, Jeoff...

**La blonde murmure "Zamen" dans un souffle et quitte le bureau rapidement sans laisser à Jeoff le temps de répondre**

#10 2954-08-11 18:58:17

Taftaf
Bouzouk

Re : Lettre ouverte à Monsieur le Maire

moi taftaf qui a été interne durant 48 heures,j ai eu la chance de rencontre monsieur le maire a plusieurs reprise lors de son mandat,il est vrai que c est tres impressionnant de rencontrer un bouzouks aussi charismatique,mais après quelque minute celui ci a su me mettre a l aise.

nous avons abordé des sujets variés tel que l' asile,les internés,le chômage,les entreprises,leurs chefs,la culture,

bref j ai vraiment trouve en Jeoff un bouzouks proche du peuple et a son écoute

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