Vous n'êtes pas identifié(e).

#1 2966-07-01 23:58:46

Taka
Bouzouk

Une bête venue d'ailleurs ?

La nuit tombait lentement sur la ville, enveloppant les rues d’un manteau de brume légère et de silence incertain. Taka, les mains dans les poches, avançait d’un pas nonchalant vers son repaire habituel : le Bar des Pochtrons. Rien ne laissait présager que sa soirée prendrait un tournant aussi inattendu. Une fois installé dans un coin sombre du troquet, un verre à moitié plein devant lui, il s’écria:


Ce soir, comme bien d’autres, je flânais dans les ruelles mal éclairées de la ville, en direction du Bar. Mon ventre criait famine, et ma gorge, elle, réclamait un bon vieux tord-boyaux pour oublier la journée. Rien d’anormal jusque-là.

Mais à mi-chemin, juste avant le vieux lavoir abandonné, j’ai entendu un bruit étrange. Un mélange entre un grondement sourd et un souffle bestial. Curieux, je me suis approché à pas feutrés. Et là…

Je l’ai vu.

Une créature immense. Je ne plaisante pas : elle devait faire deux fois ma taille, au bas mot. Couvert d’une fourrure épaisse et mauve, le bestiau semblait sorti tout droit d’un cauchemar ou... d’un conte oublié.

Il avait trois yeux brillants, tous fixés dans ma direction. Des yeux qui semblaient presque... intelligents. Six pattes musclées qui se posaient avec une précision étrange, silencieuses malgré sa masse. Et son torse, large comme une armoire de mercenaire, se soulevait lentement au rythme d’une respiration maîtrisée.

Je suis resté figé. Pas par peur enfin, un peu, mais surtout par stupeur. Je n’avais jamais vu un animal pareil, ni en forêt, ni en montagne, ni même dans les vieux récits des anciens.

Est-ce que cette chose vient de la montagne de Vrlux ? Serait-ce une nouvelle espèce ? Ou quelque chose d'encore plus ancien, qui aurait choisi de se montrer seulement maintenant ?

Quand j’ai cligné des yeux, il avait disparu. Comme s’il s’était évaporé dans les ombres.

Je suis resté là un moment. Puis j’ai repris ma route, plus vite cette fois, le cœur battant à tout rompre.

Si quelqu’un d’autre a vu cette chose, ou en a entendu parler..., je veux savoir si je suis devenu fou, ou si une nouvelle ère sauvage s’ouvre à nos portes.

Taka leva les yeux vers les vieilles poutres du plafond, et but une gorgée de son verre, encore secoué par ce qu’il avait vu. Ou cru voir. Dans tous les cas, quelque chose rôdait là dehors… et il comptait bien en savoir plus.

Déconnecté

#2 2966-07-22 21:53:48

Jacques-Brel
Bouzouk

Re : Une bête venue d'ailleurs ?

Je n'ai rien vu de tel cher Taka. Ne crois tu pas que ce soit la biéro ou le Raki ? oui

Déconnecté

#3 2966-07-22 22:46:08

Taka
Bouzouk

Re : Une bête venue d'ailleurs ?

Taka se redresse un peu, un sourire en coin, et répond d'une voix rauque :

T’as peut-être raison, Jacques-Brel. Au réveil, j’avais encore l’goût du Raki collé au palais et la tête pleine de brume… Mais j’te jure, ce que j’ai vu, c’était pas kah délire d’ivrogne. Ou alors… kah sacré bon. search oeil

Déconnecté

#4 2966-07-26 12:21:17

Blurb
Quête du Schnibble

Re : Une bête venue d'ailleurs ?

Si vous voulais mon avis les gars, je crois qu'ils coupent nôtre Raki au légume frais, et ça nous fait pas que du bien argh


LOBLONG BLOURBIUS

Aux ruines, je tiens ma cour; aux vivants, mon respect.

Déconnecté

#5 2966-07-26 12:36:12

Zena
Journaliste

Re : Une bête venue d'ailleurs ?

Zena tapote nerveusement sur le comptoir collant, un œil sur son verre, l’autre qui louche à moitié :

J’vais t’le dire moi, Taka… Ce que t’as vu, c’est pas une hallucination. Ni un effet secondaire du Raki aux brocolis vapeur. C’est un Vlurntzrebnaï. Ou pire… une mutation ratée du Plouk Sauvage.

Y’en a qui disent qu’au fond du Luxebouz, y’a une porte secrète. Tu passes derrière les tonneaux moisis, tu récites l’hymne du syndicat à l’envers, et boum ! T’es dans le Domaine des Bestioles Oubliées.

Des trucs à six pattes et trois yeux ? J’en ai vu dans les archives de la mairie. Mais ils ont censuré ça, depuis la grande Affaire du Fromage Qui Bougeait Tout Seul.

Alors crois-moi : si t’as vu ce monstre, c’est pas un bug dans ta tête, c’est un bug dans le système. Et si on remue trop… la Mairie risque de te faire “disparaître” dans une boîte de céréales Floppeur. Tu vois l’idée ?

Bois un coup, reste flou. Mais creuse… discrètement.

Déconnecté

#6 2966-07-27 07:41:45

Blurb
Quête du Schnibble

Re : Une bête venue d'ailleurs ?

Sors une feuille de papier de sa chaussette troué et commence à noté

LUXBOUZ - PORTES SECRETE DERRIERE TONNEAUX - HYMNE DU SYNDICAT A L'ENVERS

Avant de se tourné vers Zena pour lui demander

Quel est l'hymne du syndicat ?


LOBLONG BLOURBIUS

Aux ruines, je tiens ma cour; aux vivants, mon respect.

Déconnecté

#7 2966-07-27 13:28:16

Zena
Journaliste

Re : Une bête venue d'ailleurs ?

Zena plisse les yeux et se penche vers Blurb, comme si la vérité elle-même craignait d’être entendue. Elle baisse la voix, aussi grave qu’un Plouk au fond d’une fosse sceptique :

L’hymne du syndicat… Chut.
On l’récite pas à la légère, Blurb.
C’est pas une comptine de Pochtron qu’on chante après trois shots de Brocoli-Raki.
C’est un chant sacré, ancestral, codé, transmis par les anciens… entre deux flatulences.

Elle sort une cuillère en bois gravée d’étranges symboles (ou des miettes de chips) et la tape trois fois sur le comptoir poisseux, comme pour sceller un pacte invisible.

Bon. Écoute bien. Une seule fois.
L’hymne complet, dans l’ordre, ferait trembler les murs du Luxebouz…
Mais récité à l’envers, il ouvre les Portes.
Tu prends ta feuille? Note, mais surtout… NE LE CHANTE PAS FORT, ou tu risques de réveiller le Plouk Sauvage.


Zena ferme les yeux et récite d’une voix solennelle :


Hymne du Syndicat (à l’envers) :

«Zoum zoum, fla groll d’la nouille,
Traktopelle en furie fait la rouille,
Syndikate nous sommes, râpe à fromage en bandoulière,
Que la mousse bénisse nos pieds,
Et que les Nouilles soient !»


Elle rouvre un œil, l’air grave :

Voilà. Maintenant que tu sais ça, deux choix s’offrent à toi, Blurb :
Soit tu t’en vas discrètement pisser dans un bidon de Luxomalt…
Soit tu prends ton destin de Bouzouk par les antennes, tu t’planques derrière les tonneaux moisis…
…et tu fredonnes l’Hymne à l’envers en mâchant une touffe de persil rituel.

Elle vide son verre d’un coup, et conclut :

Mais souviens-toi : si jamais tu te retrouves face à un grille-pain qui te demande le mot de passe…
Réponds : “Floppeur n’est jamais en retard.”
C’est la clef.
Va, camarade. Et que le Schnibble te protège.

Déconnecté

#8 2966-07-27 13:59:31

Blurb
Quête du Schnibble

Re : Une bête venue d'ailleurs ?

Blurb, grand adorateur de sa feuille sale, griffonne tour à tour le chant de l'hymne du syndicat, tout en le marmonnant dans sa trompe, ne prenant compte de ce que cela impliqué. Puis il se tourna vers Zena et lui dit

Je crois que ta cuillère et sale, puis-je ?

Et sans attendre la réponse pris le morceau de chips collé dessus pour se le mettre dans la trompe

Dans l'écoute et l'écriture de l'hymne, un frisson le parcourut, ou peut-être par dégoût de ce qu'il venait de faire. Calmé par une rasade de Bierrouïoli toujours tiède, Mauvais certe, mais c'est ainsi qu'il l'aime. Il ajouta

PERSIL RITUEL à sa liste, avant de regarder Zena dans les yeux

Floppeur n'est jamais en retard

puis il dépose une main sur celle de Zena

Mercie mon amie, souhaite moi bonne chance car ce soir j'irai aux tonneaux. Mais avant je vais pisser dans un bidon de Luxomalt

Et il finit son verre d'une traite avant d'en commander un autre réchauffé par incubateur struloïde

Il fut gêné de constaté qu'il tenait fermement la main de Zena depuis plusieurs minutes désormais, pas pour les idées qui pouvait véhiculé cette scène, mais parce qu'il avait honte de dire que, cette affaire le terrorisais.


LOBLONG BLOURBIUS

Aux ruines, je tiens ma cour; aux vivants, mon respect.

Déconnecté

#9 2966-07-27 14:25:21

Zena
Journaliste

Re : Une bête venue d'ailleurs ?

Zena regarde la main de Blurb dans la sienne, sans la retirer, son regard doucement flou d’alcool, d’émotion, ou peut-être des deux. Puis elle cligne lentement des yeux, comme si elle venait de comprendre que l’instant était grave. Et sacré.

Elle prend une grande inspiration, et dans un souffle qui sent légèrement la purée de flan fermentée, elle répond :

Blurb…
T’es p’têt qu’un vieux zlip en laine trouée, mais ce soir… t’es mon héros.
Le Floppeur t’as choisi, toi. Pas moi..
Alors tu vas aller derrière ces foutus tonneaux moisis, tu vas marmonner l’Hymne à l’envers avec ta trompe toute moite…

Et tu vas t’retrouver face à l’Oubli. À l’Ancien. Au Grille-Pain du Jugement Dernier.

Elle se penche plus près encore, son front presque contre le sien :

Si t’en reviens… j’te paie un Raki-Brocoli. Avec glaçons. Et on crie ensemble “Mousse bénisse nos pieds” jusqu’à l’aube.
Si t’en reviens pas… j’dirai à la mairie que t’es mort comme un vrai Bouzouk.
La tête haute, la trompe en avant… et le slip trempé de Luxomalt.

Puis, dans un dernier murmure sacré :

Et surtout, n’oublie pas : si l’univers se plie en deux et qu’un Plouk t’adresse la parole…
Ne rigole pas.
Surtout pas.
Ils détestent ça.

Elle attrape son incubateur struloïde, le secoue, puis trinque doucement contre le verre de Blurb, son regard désormais bienveillant, presque fier :

Va, Blurb. Que la Schnouff t’ouvre les portes, et que la Sainte Cuillère te protège.
…Et évite de re-manger des miettes de chips rituelles. C’est pas bon pour les visions. Ou les intestins.

Déconnecté

#10 2966-07-27 14:50:38

Blurb
Quête du Schnibble

Re : Une bête venue d'ailleurs ?

À ses mots, un sentiment de fierté se fit ressentir. Blurb se tourna désormais face à Zena et pris désormais ses deux mains dans les sienne, avant de crier (sans toutefois prendre conscience de si cela pourrait être gênant), et peut-être par trop plein de boissons

ON CRIERA ENSEMBLE MOUSSE BÉNISSE NOS PIEDS JUSQU'À L'AUBE avant de se taire, regarder dans le fond des yeux de Zena et d'essayer de voir dans sa trompe la gène ou la joie.

La distance qui sépare leurs deux fronts, si mince le fit transpirer. Il n'avais pas l'habitude de tant de proximité depuis que le zumain bizarre qu'il avait recueillit lui avait montrer comment il pouvait casser des noix avec son front.

Puis il prit son verre pour trinquer, amuser par l'audace de Zena de boire sa boisson directement dans son incubateur struloïde, servant à chauffer sa boisson, plutôt que de prendre un verre bien frais, comme il est coutume de boire la Bierrouïoli.

Puis il repris d'une voix plus calme

Je reviendrai victorieux et je dirai ce que j'ai trouvé derrière ces tonneaux. Avec la schnouffle et la sainte cuillère, rien ne peux m'arriver


LOBLONG BLOURBIUS

Aux ruines, je tiens ma cour; aux vivants, mon respect.

Déconnecté

#11 2966-07-28 01:36:11

Blurb
Quête du Schnibble

Re : Une bête venue d'ailleurs ?

S’asseoit au comptoir, à sa place habituelle. Les membres tremblants, l’air fatigué et la trompe molle et humide, il entame son histoire, lentement, à la voix grave.

Je suis allé comme dit hier pisser dans un bidon de Luxomalt, dans le fond de Luxebouz près de la porte secrète. Alors, j’ai rencontré Le Vlurnkrot derrière un bidon rouillé, et cette sangsue m’a sauté dessus pour me sucer jusqu’à la moelle.

Se lève et, soulève sa coule à capuchon débraillée pour montrer sur sa cuisse une marque en spirale.

Je suis tombé dans les spaggiouili deux heures durant avant de reprendre ma quête. Alors j’ai sorti mon papier gribouillé, j’ai marché vers les tonneaux, récité l’hymne à l'enver et…

Laissant un court instant au récit pour observer le regard de son interlocutrice, laissant la tension s’installer, il repris

Rien, ABSOLUMENT RIEN, PAS DE PASSAGE

L’air grave il reprit d’une voix plus douce, presque trop basse pour forcer l’écoute

J’ai cherché des indices, suivi des traces et vu entre deux caisses trois Flurmzug. Ces petits rongeurs bousillent tout alors, je suis allé voir les caisses moisis et, après m'être fait éternuer dessus par des Pnargs, ces champignons teigneux, j’ai constaté une traînée visqueuse qui sortait du tonneaux.

Se relevant et regardant fixement, les yeux plissés lui donnant l’air d’avoir un problème plus que de réfléchir, il reprit

J’ai suivi cette traînée jusqu’à un mur devant lequel se trouvaient d’autres tonneaux, et un meuble marqué du signe du Schnibble. Alors j’ai récité l’hymne à l’enver !, et …

Prenant une grande rasade de jus de bloubz, et tapant d’une main le comptoir

RIEN, toujours RIEN. je n’ai pas réussi à lire à l’envers. J’ai donc pris une heure pour répéter le texte avant de retenter. ET…

Il se penche, s’approchant légèrement, comme pour dissiper toutes distances entre lui et Zena.

Le mur s’est ouvert, et j’ai vu ce que l'on ne devrait voir. Un  Fräbgnil, long et visqueux à trois pattes immense, grognant d’une voix fluette et ridicule. J’ai rigolé 3 minutes durants

À ce souvenir, un rire retentit dans le fond de sa gorge.

Le Fräbgnil en colère a tapé contre un mur, et un Grulk caché dans le haut du plafond lui est tombé dessus, le dévorant juste sous mes yeux. Cette immense limace au pustule phosphorescentes s’en est allée dans le fond du tunnel, m’éclairant sur le passage. Alors je l’ai suivi jusqu’à lui.

Sortant une lettre et la posant sur le comptoir, coincé sous sa main, il dit

WOODRUFF, cet être mi-homme, mi-bouzouk né il y a des décennies. Vieu, trés vieu, et dans sa main une lettre froissée. Il était accompagné d’un Plouk sauvage, j’ai donc détourné les yeux pour ne pas rigoler et, à taton pris la lettre.

Il fit glisser la lettre sur le comptoir et laissa à Zena l’accès à ces mots.



Woodruff,

Si tu lis ces barbouilles, c’est que mes poils de sourcil sont probablement déjà digérés par la grande Machine Zumainoïde. Qu’importe! J’écris avec une plume trempée dans le jus de Schnibble pour que mes mots soient éternellement collants.
Si ta trompe frôle encore ce papier, c’est que tes yeux d’ancien savent voir sous la moisissure des barils, car le Schnibble me l’a murmuré (dans ma chaussette gauche) : quand les tonneaux moisiront à l’envers, quand le dernier Plouk fera sauter son bouchon, alors le Bouzouk sera muet. Et pas de Schnibble pour colmater les bouches trouées!
Les Zumains glisseront du sommet vers la fange — plus d’outils, plus de cris, plus de mots. Juste des souffles courts, des grognements tièdes. Leurs mains tâtonneront le sol, leur peau durcira, ils suivront l’odeur du sel et du gras comme des ombres sans âme. Mais nous… les Bouzouks perdront la bouche, et la parole se faufilera dans la trompe comme un dernier souffle.


Quand le dernier tonneau moisira de l’intérieur, plus personne ne se souviendra. Pas un Plouk, pas un Grulk, pas un Maire. Derrière les fûts pourris, tu trouveras la Cachette-Mère, la Grotte à Vlurnkrot — c’est là que dort la vérité. Mais prends garde! Le Maire-Gougnasse tordra le cou aux langues bavardes, car mieux vaut un Bouzouk ignorant qu’un Bouzouk debout. Donc griffe, racle, creuse, Woodruff! Et souviens-toi: si tu sens l’odeur d’un Schnourb, c’est que tu es sur la bonne piste.


Protège cette Cachette-Mère, vieux Schnourb. Cache les mots dans ta trompe, glisse-les sous ta peau, car ceux qui hurlent trop fort finiront troués et pendus à la poutre du Maire-Gougnasse. Et souviens-toi: derrière la peur, derrière les barils, le Schnibble attend qu’un dernier Bouzouk lui chuchote son nom.
Par le Schnibble et par mes cors aux pieds.

Azimut

P.S. : Si cette lettre pique les yeux, c’est normal. Mets-la au frigo.
P.P.S. : Si tu vois un Zumain qui bave, donne-lui un os. S’il te regarde avec des yeux ronds, cours.


J’ai entrepris mon voyage retour et, je l’ai vu, l’être venu d’un autre temps. LE grille pain, alors je lui ait dit ces mots : “Floppeur n’est jamais en retard”. Il a laissé sortir de ses trous des chips rituelles. J’en ai pris une et l’ai mangée avant de reprendre la route. Arrivé chez moi j’ai découvert ceci

Blurb repris la feuille des mains de Zena, mis ses mains sur le bords droit et, dans un geste d’écartement, fit d’une feuille deux feuilles totalement identiques, avec pour seule différence les mots inscrits dessus. Sur la première partie ont pouvait y lire un message, étrange certe, mais compréhensible.

Patte de blörk dans la soupe à la schnurgl,
Le grulk râpé sous la sauce Zlobouk.
Si la chique de vlurnkrot danse dans le ragoût,
C’est que le schnourb a oublié son chapeau !
Verse une louche de fräbgnil,
Mélange avec l’ombre du schnibble,
Et garde au frais dans la boîte à ploubnark.
Si la gargouille glougloute, c’est bon signe.
Sinon, pète un coup !


Lorsque sur l’autre, il n’y avait qu’une suite de mots.


Patte de blörk, Lettre
Soupe à la schnurgl, Message
Grulk râpé, Mots
Sauce Zlobouk, Secret
Chique de vlurnkrot, Erreur
Danse dans le ragoût, Compromet le sens
Schnourb, Azimut
Chapeau, Intention
Louche de fräbgnil, Partie
Ombre du schnibble, Vérité
Boîte à ploubnark, Cachette
Gargouille glougloute, Succès
Pète un coup, Recommence


Je n’ai pas compris le sens, peux-tu essayer de comprendre ?

Dit-il en lui tendant les feuilles, une main passer sur le front.


C’est là tout ce dont je suis témoin, aussi vrai que je m’appelle Loblong.


LOBLONG BLOURBIUS

Aux ruines, je tiens ma cour; aux vivants, mon respect.

Déconnecté

Pied de page des forums

[ Générées en 0.024 secondes, 10 requêtes exécutées - Utilisation de la mémoire : 592.55 Kio (pic d'utilisation : 627.73 Kio) ]