Depuis quelques temps maintenant, le ZMZ, c’est tendance. Tendance relou…

Plus rapide que le zicklic, qui permet à un bouzouk de se déplacer à peine le temps de dire “-clic-”, plus invasif que votre proctologue, plus intrusif qu’un censeur qui fourre sa trompe dans nos moeurs et moins cher qu’une bonne vieille missive, le ZMZ s’envoit partout, tout le temps.

Le résultat ? Vous voulez avoir la paix, alors vous les perdez en forêt, vous les isolez sur une île déserte, vous les internez, vous les ligotez, vous les baîllonnez, mais non ! Ils sont toujours là. Un petit ZMZ et hop ! Vas-y que j’ramène ma fraiZ, à défaut de ramener ma trompe. Vas-y que j’donne mon avis sur tout et n’importe quoi, même si on m’a rien d’mandé, comme si ça suffisait pas de voir leur tronche à la tévé...

Échoué au milieu du désert, à ZIG doigts de la Quête, ZIG doigts, c’est plus qu’il n’en faut au bouzouk pour se présenter aux élections d’un simple ZMZ. De ses wécés, il commente la dernière taxe et l’impact qu'elle aura sur ses prochains achats de pécu, tandis que l’anneau-rex-hic z’like le dernier défilé de Kate Moche de KAH seul doigt, tout en en ayant ZIG autres dans la gorge.

Et grâce à l’appli SpikZmZ, même si, malencontreusement, vous vous retrouvez amputationné de vos ZIG bras, bien qu’à jamais privé de chocolat (à moins d’une repousse miraculeuse desdits bras), vous pourrez toujours ZMZzer, tout simplement en dictant votre message à votre Aillefone qui se fera un devoir de poll... transmettre à qui de droit.

Avec le ZMZ, il n’y a plus de contrainte, non seulement d’espace, mais aussi de temps. En effet, grâce aux récentes découvertes du Professeur Emmiett BrowniZ, on peut désormais envoyer des messages au futur, au passé, au passé antérieur, au futur dans le passé et même au plus-que-parfait, alors que jusqu’à présent, on ne pouvait en envoyer… qu’au présent, justement.

De nouveaux z’horizons s’ouvrent pour les z’addict, les veines s’ouvrent pour les adeptes du “c’était mieux avant”.

Fin d’un constat documenté, réalisé en toute objectivité.
J’attends vos ZMZ d’insultes.

À bientôt sur Pioukeur
#laGazette #PincemiRéac’euhnonRédac’

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Asy a récemment été élu Maire de la Ville, en battant majestueusement le Gépéto Fuyuzora lors des dernières élections municipales.
Votre humble Big Brozouk est allé à la rencontre du prodige qui a su s'élever par la voie des urnes au rang de détournateur en chef des struls publics. Une promotion inattendue qui nous a laissé perplexe :

Gladstone : Monzouk le Maire, j'ai quelques questions à vous poser pour le Vlurxtrznbnaxl Times.

Asy : Vous voulez parler de ce torchon dont vous êtes le seul employé et qui ne se vend qu'à une lectrice dont les capacités mentales font l'objet d'un débat ?

Gladstone : Oui.

Asy : Je vous écoute.

Gladstone : Avant toute chose, qu'est-ce que ça fait d'être le grand patron... Etes-vous dominateur ?

Asy : Dominateur ? Bah... J'adore les fouets ! J'en ai toute une réserve ! Martine adore quand je... Euh... Je suppose que vous voulez parler du poste de Maire... C’est un réel plaisir de savoir que je peux aider le peuple de Vlurxtrznbnaxl et proposer des activités pour animer la ville, en touchant à l’économie et à notre culture !

Gladstone : En parlant de toucher Martine, comment justifiez-vous votre outrageuse et outrageante politique de dons struleonienne ?

Asy : La plupart de mes dons s'envolent vers des amis chers venant de différents horizons. J'ai moi-même et à plusieurs reprises reçu des dons dans le passé. Et je trouve ça normal d’offrir des struls à ses amis quand on en a les moyens. Les rares dons que j’ai fait n’ont pas été trop importants. Honnêtement, j'estime que le strul doit circuler ! J’adore utiliser ma machine à pépètes... Le compioutazar ! Et j'adore encore plus signer des chèques, l’odeur du strul, glisser des biftons entre les boobz de Martine et j’adore... Veuillez m'excuser, je m’égare encore. A quel nom le chèque ?

Gladstone : Hum... Gladstone... Mais revenons à nos pioupiouks ! On remarque comme la protubérance avant de Pincemi que votre politique favorise clairement la pénurie des shops actuellement orchestrée. Pensez-vous aux improductifs de notre société qui exigent de vous que vous leur facilitiez la tâche ?

Asy : Improductifs ! Tout est dit. La réponse est dans votre question, mon ami ! Pourquoi aiderais-je des bouzouks hagards qui ont délaissé le travail au profit du raki et de la vodkazouïoli ?
Pour ceux qui souhaitent évoluer, je suis actuellement en train de mettre en place un projet afin de leur permettre de développer leur organisation ou leur entreprise : Innovàvlurx ! Placement de pub, pas mal, hein ? Hé hé.
Et pour ceux que ça intéresse, la mairie propose des activités qui permettent de gagner pas mal de struls. Et hop, replacement de pub ! Hin hin.
Quant à la pénurie des shops, je n’y peux pas grand chose... C'est la conjoncture qui veut ça ! C'est la crise ! Et puis, z’avez qu’à arrêter de claquer vos struls au luxezouk ! Par exemple, investissez dans un Monsieur Schnibble du DCBA !

Gladstone : Et encore un placement de pub ! Vous êtes incorrigible, Monzouk le Maire. Mais vous êtes aussi un BuzinessZouk. Y a-t-il des BuzinessZouks que vous détestez ? Sky l'infâme nabot, par exemple ?

Asy : Étrangement, la concurrence entre BuzinessZouks ne me dérange pas. Ce serait plutôt le contraire ! Je suis beaucoup moins présent sur mon stand au marché noir que certains grands BuzinessZouks mais c’est toujours un plaisir de faire affaire avec quelqu’un ! Donc, j’apprécie à peu près tout le monde ! Sauf l’autre tête de bloubz ! Il se reconnaîtra !
Sky !? Namého ! C’est quelqu’un de bien ! Et il possède un Mégalo alors allez-y molo sur les mots doux. Lui et moi, on partage l’amour du commerce et j’aimerais bien qu’il partage autre chose... Sky, FILE-MOI TON MEGALO !

Gladstone : Point schnibblique : Quels sont les rapports que vous entretenez avec le trou du culte de la Secte du Schnibble ?

Asy : Ils ont plein de cailloux verts à vendre s’ils ont besoin d’fric ! ‘Pis quoi encore ?

Gladstone : Une fois élu, vous attendiez-vous à être élu ? Etiez-vous si confiant dans la triche électorale ? Certains doutent de l'efficatité de celle-ci. Qu'avez-vous à répondre à tous les sceptiques de la triche électorale ?

Asy : Après les premier et second tours, je suis resté humble et confiant. Fuyuzora a été un adversaire coriace. Mais j'ai bien évidemment été content de l'écraser !
Le triche, je ne connais pas ! Tout ce que je fais reste légal... Enfin, presque tout. Évitez de parler des soirées où tout le monde fini à pwal avec un raki dans une main et un slip dans l'autre...

A qui appartenait ce slip ?
Chers lecteurs, pour le savoir, achetez l'édition spéciale à 15 000 struls du Vlurxtrznbnaxl News !

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En voyant le teint vert de Didou122, je me suis abstenu de tout commentaire imbibé de dégoût ou de surprise. Je l'ai approché gentiment pour lui faire la bise. Elle m'a demandé à manger mais je n'avais rien à lui donner. Ou du moins, en lui répondant cela, je ne pensais pas devenir son petit-déjeuner. Buffet garni ! Didou122 se sustenta de ma peau fripée par le temps et ma lutte contre le MLBisme. Nul doute qu'elle s'est régalée !

Partout, des Bouzouks verts. Des LimZouzines en feu. Des casquettes mises sur le côté ! L'apocalypse selon Fuyuzora.

Je me suis donc rapproché d'un Bouzouk au teint citronné afin de lui parler à voix basse.

- T'as été mordu ?
- P'tet ben qu'oui... P'tet ben qu'non !
- C'est pas une réponse ça.
- Bah... Une léchouille... C'est une morsouille ?
- Tu as été léché avec les dents ou avec la languouille ?
- C't'à dire que j'ai senti des dents mais c'était mouillé.
- Okay.
- Sois tranquille... J'n'ai pas envie d'te bouffer.

A peine rassuré, je me suis éloigné de ce Bouzouk plus que suspect lorsque je me suis retrouvé face à face avec Kaicho. Ce scélérat avait un beau teint orangé. Heureusement, j'ai réussis à le plaquer au sol avant qu'il ne se ziclike dans son repère de fous dangereux amoureux du scientifouillage.
Comment se faisait-il que le scientifouille qui promettait la guérison à toute la ville n'était pas vraiment malade ?

- Ne me mords pas !
- Pourquoi tu n'es plus aussi vert qu'à la TV ?

En disant cela, je désignais le grand écran qui rediffusait son passage au JT dans lequel, il était aussi vert qu'un item 99.

- Du maquillage !?
- Euh...

Et avant que je ne m'en rende compte, le vil scientifouille dont j'avais découvert la supercherie avait sorti une aiguille pour me planter. Ce n'est que six heures plus tard que je me suis réveillé dans une ville anarchique, en proie à la destruction.

Pensant trouver de l'aide à la Mairie, j'aperçus boubouch qui prenait place dans le fauteuil de Maire grâce à un énième coup d'état improvisé et magistralement permis par les hautes autorités qui étaient de plus en plus enclines à laisser le souk s'installer pourvu qu'elles pouvaient toujours se goinfrer de kahuètes et consommer des pikouz. De véritable toxicos à l'image de mon rédacteur en chef Tweedy dont les pages sont plus remplies de pikouz que d'encre ! Bref, nous nous éloignons du sujet !

Revenons à nos pioupiouks. J'ai vu boubouch prendre place dans le fauteuil de Maire et signer des dons à des dizaines de privilégiés. J'ai voulu lui flanquer une taloche mais l'énergumène était trop bien protégé.

En sortant de la Mairie, j'ai vu des larbins struleones charger des camions entiers avec les struls de la Mairie. Cette désertion de la part de cette meute de couards aux cheveux huilés ne m'a pas impressionné.

Comme beaucoup, ce soir-là, j'ai erré. La panique qui faillit consumer la ville a manqué de me consumer avec elle.

Depuis, j'observe et j'attends. Mais nul doute que cette affaire cache une conspiration.

Une conspiration scientifouille !

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